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MISES EN SCÈNE D'HÉLÈNE ZIDI

Créé en 2016 pour Avignon, le spectacle est une évocation biographique de la sculptrice Camille Claudel. Les mots d'Hélène Zidi habillent Camille Claudel aux différents âges de la vie : jeune, elle est entourée de bonheur et d'amour, à l'âge mûr, Camille est nourrie des désillusions d'un amour trahi, vieille femme, elle ressemble à un album de souvenirs couleur sépia.

Leur mère vient de mourir. Jeanne et Jean se retrouvent dans la maison de vacances familiale. Elle souhaite la vendre, il veut la conserver. Ce désaccord purement matériel va faire remonter à la surface des incompréhensions plus profondes, des rancunes, des sentiments amers, mais aussi les souvenirs joyeux de l'enfance.

Entre rires et larmes, cette soeur et ce frère vont tenter de retrouver une complicité oubliée et de ressasser un lien abîmé par les années qui filent et les non-dits qui s'accumulent...

Dans la Mouette, tous les personnages rêvent de quelque chose. Tous sont tournés vers le futur, l’irréel : la jeune Nina aspire à devenir une grande actrice auréolée de gloire, le jeune Constantin voudrait révolutionner l’écriture théâtrale, l’oncle Sorine « aurait voulu » être quelqu’un d’autre et refuse de vieillir, Arkadina (la mère de Constantin) voudrait rester une éternelle jeune actrice et plaire à son amant écrivain Trigorine, et ce dernier ne vit jamais l’instant puisqu’il ne songe qu’à écrire… Mais tous sombrent dans la désillusion. Le mot « mouette » en russe contient d’ailleurs l’idée d’échec.
L’adaptation et la mise en scène d’Hélène Zidi s’intéresse plus particulièrement à l’échec de la relation entre Nina et Constantin, à la déliquescence de cet amour de jeunesse, au quotidien et au destin tragiques de ces deux personnes passionnés par l’art. Les quatre actes de la pièce de Tchekhov sont donc coupés, des personnages disparaissent (les parents de Macha) et le personnage de Dorn fusionne avec celui de Medviedenko, afin de se focaliser sur les deux êtres qui souffrent le plus. Certes, les douleurs des autres personnages ne sont pas omises : le maître d’école Medviedenko aime la fille de l’intendant de la maison de Sorine, Macha, qui, elle, aime Constantin. Arkadina aime Trigorine qui aime un temps Nina. Sorine est malade. Mais l’action est resserrée autour des deux « mouettes » qui veulent prendre leur essor et s’engluent dans une réalité teintée de regret. L’intrigue est située dans la France d’aujourd’hui.

Une femme gare sa camionnette dans la vie d’un couple …
Laurent (mari volage) et Loli (qui ne se doute de rien) forment un couple heureux qui vit bourgeoisement dans une petite ville du Sud.
Mais un jour Marie-Jo tombe en panne avec son minibus, juste devant leur maison. Laurent et Marie-Jo n’ont qu’un point en commun : ils aiment tous les deux la même femme…

Quelques jours avant les funérailles de leur mère, une fratrie se retrouve avec leur dose de problèmes et osent aborder tous les sujets tabous. Personne ne sortira indemne de ce petit bijou d’humour noir.

UNE COMÉDIE DÉCAPANTE, IRRÉVÉRENCIEUSE ET POLITIQUEMENT INCORRECTE !

Les études scientifiques l'ont démontré : on peut fort bien élever un ado d'appartement, sans danger majeur, pour peu que l'on respecte un certain nombre de conseils...

Des signes distinctifs au dressage à proprement parler, en passant par sa chambre ou encore son alimentation, tout y est pour permettre aux parents de survivre en compagnie de cette espèce en voie d'extension et leur apprendre à gérer leur trop-plein d'heures de sommeil, leur manque de zèle scolaire, leur saison des amours, leur régime à base de pâtes et de frites, et leur langage pour le moins.... exotique !

Ce spectacle va vous aider à prendre du recul, vous aider dans les situations d'urgence, c'est à dire quotidiennes, à élever votre ado d'appartement.

Vos ados d'appartements sont admis dans l'enceinte du théâtre.
Il n'est pas nécessaires de les tenir en laisse sauf si ils sont répertoriés en 1ère catégorie (pittbull, boerbull...).

Guide de survie à l'usage des parents dépassés et des ados incompris.
Une pièce d'utilité publique ! Critiques de la presse

La marseillaise
“ Tout le monde s'y reconnait. "

La Provence
“ Rien n'est oublié dans ce réquisitoire implacable et drôle. "

L'Hebdo Comtadin
" Pour ceux qui cherchent à rire vous ne serez pas déçus. Le succès est garanti. "

Vaucluse Matin
" Beaucoup de justesse et d'humour. "

Avignnews
" Voilà un spectacle qui tape
dans le mille. "

Marianne, jeune épouse du juge Claudio, méprise l'amour de Coelio et s'offre à Octave qui la repousse. La Jalousie du vieux magistrat mettra une fin tragique à cette quête amoureuse. La mort de Coelio renverra chacun à sa tristesse et à son malheur de ne pouvoir vivre l'amour.

Elle est rigolote,libérée et délurée. Ils se plaisent bien et l'idylle se noue assez facilement. Elle lui offre l'illusion d'être exactement comme tout le monde.

Mais l'arrivée de la mère qui veille sur son enfant non-voyant les renvoie à la réalité. Pas si facile d'aimer "normalement" quand on est profondément instable. Pas si facile de voler "normalement" de ses propres ailes quand on a une mère hyper protectrice.
Et il en faudra bien des explications, des concessions et des compréhensions pour que libres deviennent ces jeunes papillons qui ont décidé de coexister...
Une comédie drôle, actuelle et sincère sur le handicap et la difficulté d'aimer aujourd'hui.
L'adaptation moderne, simple, directe d'Hélène Zidi-Cheruy et l'interprétation naturelle et pleine d'humour des comédiens font de cette pièce un véritable hymne à l'humanité.
Critiques de la presse

Avignews "Ce petit chef d'oeuvre n'est pas seulement à voir mais à vivre"
France bleu : "Un spectacle tout en finesse,
en tendresse... et surtout en humour"
La marseillaise " L'une des pièces les plus revigorantes du festival d'Avignon"
Le Journal du Dimanche
"Le coup de coeur du JDD"
Pariscope "Pièce rare, romantique, réaliste
et intelligente"
ParuVendu "Une pièce à ne pas manquer"
Paris-coupdecoeur.fr "Un sans faute!"
L'echo "Cette pièce prend le spectateur
à chaque seconde"
Matin Plus " Ils se révèlent l'un l'autre
dans cette comédie"

Bob ,voleur de charme bisexuel flamboyant, arrive à convaincre Monique et Antoine, couple minable, de faire équipe avec lui en cambriolant des maisons bourgeoises. Bob cherchera à séduire Antoine, sous les yeux indifférents de cette épouse salope, fascinée par l’argent du voyou. Une vie sur le fil, où tous finiront par faire le tapin.
Critiques de la presse

"Pari réussi pour Hélène Zidi : elle adapte et met en scène (...) sans jamais tomber dans la caricature.(...) Personnages comico-tragiques touchants de sincérité, situations hilarantes,
le tout mené sur un rythme d’enfer. Les fans de l’univers de Bertrand Blier
ont de quoi se régaler…"
Emmanuel Plé

« On retrouve l’ambiance du film de Bertrand Blier (...) Dialogue tantôt truculent, très drôle, très cru mais aussi très tendre. Spectacle troublant par la proximité, les acteurs sont
à la portée des spectateurs. Les sentiments s’expriment, ils sont directement palpables.
Une confrontation permanente des corps et des âmes. »
Jean Michel DHUEZ- Europe 1-Le 31 Mars 2006

« Vingt ans après la sortie du film, les mots de Bertrand Blier sont toujours aussi percutants. C’est ce qu’on vérifie tous les soirs sur la scène du Théâtre Côté Cour, où Hélène Zidi
a adapté et mis en scène Tenue de soirée (…) La pièce ne laisse pas indifférent (…)
Dans cette petite salle intimiste du Théâtre Côté Cour, les répliques nous arrivent en pleine face. Hélène Zidi est restée fidèle à la violence verbale et sexuelle de l’original.
Il faut saluer la performance des trois comédiens (…).
Valérie Beck, Le Journal Du Dimanche , Le 16 Avril 2006
"Un spectacle qui vous fait simultanément pleurer, rire et bander est une rareté unique. C’est ce qui se produit avec « TENUE DE SOIREE » - dans la mise en scène d’Hélène ZIDI (...) Entre Monique, Antoine et Bob, tous les couplages et accouplements sont possibles – jamais gratuits, souvent sincères, mais toujours, pour chacun dans une solitude intérieure inaccessible à l’autre. Le déshabillage de ces solitudes ne laisse plus à Eros qu’un voile de mélancolie cramé par l’humour.
Jean-Marc STRICKER-Radio France- Le 22 Avril 2006

Un étrange individu surnommé le Tigre enlève Gloria, une passante. Va-t-il lui faire violence ? Il lui tient des propos incendiaires, d’un intellectualisme fumeux, rugissant au rythme du concerto Tchaïkovski, s’armant de Nietzsche et de Schopenhauer !
Gloria, insignifiante petite-bourgeoise, est tout d’abord terrorisée. Va-t-elle parvenir à l’apprivoiser ?

Note d’intention
Vouloir mettre en scène Le Tigre, c’est aussi et sans jamais juger, s’attacher à étudier et à essayer de comprendre les circonstances qui peuvent en une fraction de seconde pousser un être à passer à l’acte et à vouloir commettre parfois l’irréparable...
Pourquoi et comment les freins psychologiques peuvent cesser de jouer leur rôle au point de laisser une cassure irréversible dans le cœur et dans la tête...
C’est également s’intéresser au comportement psychologique de la victime qui paniquée doit, pour garder la vie sauve, essayer de contrôler la folie du prédateur grâce à l’écoute, l’observation, la compréhension et l’énergie du désespoir.
Hélène Zidi.
Critique presse

"Un spectacle fascinant... Admirablement guidés par Hélène Zidi, les deux interprètes ne jouent pas. Ils incarnent."
Jean-Marc Stricker, France Inter, 15 février 2005
"Un huis clos haletant et sans pitié, entre violence et sensualité… La mise en scène étonne par son inventivité et son modernisme." Emmanuel Plé, Théâtral magazine
"Célia Granier-Deferre (fille de Pierre) réalise une véritable performance d’actrice dans cette pièce construite comme un polar psychologique. Elle est d’une crédibilité rare dans le rôle de Gloria,
et oscille avec habilité de la frayeur à la folie, jusque dans la tendresse."
D. de M., Journal du dimanche, 27 fév. 2005
"Déclinaison brillante autour de la bête et de sa proie. La mise en scène d’Hélène Zidi la retranscrit avec précision,
mettant en avant une violence physique d’autant plus impressionnante qu’elle est rare sur une scène de théâtre."
Marie Figarella, A voir à lire, 8 mars 2005
"Hélène Zidi (…) signe une mise en scène charnelle, très réaliste, violente (…).
Les deux comédiens, Célia Granier-Deferre et Lionel Rousselot, la suivent avec talent sur cette pente courageuse.
Si on aime un théâtre dérangeant, on sera servi !"
Jean-Luc Jeener, Figaroscope, 16 mars 2005
"Une incontestable réussite… Et si l'on est saisi, c'est que l'interprétation est impeccable. Hélène Zidi sait faire naître en ses comédiens des personnages profonds, crédibles. Une véritable création de rôles, d'un réalisme à fleur de peau."
François Varlin, L'Avant-scène Théâtre, 15 avril 2005
" La performance d'acteurs est impressionnante, surtout dans la première partie du spectacle,
quand Célia Granier-Deferre et Lionel Rousselot s'opposent dans un face-à-face qui tourne souvent au corps à corps incertain."
Jack Dion, Marianne, 16 avril 2005
"L'enlèvement est devenu un sport mondial : les journalistes, particulièrement, en savent quelque chose ! Hélène Zidi,
par sa mise en scène, sait, dans nos coeurs de spectateurs, se faire l'écho de cette actualité : terreur, violence physique, provocation sexuelle, les comédiens, Célia Granier-Deferre et Lionel Rousselot, vont au bout d'eux-mêmes. Et c'est très impressionnant."
Jean-Luc Jeener, Le Figaro Magazine, 23-29 avril 2005

Quatre personnes du monde du cinéma vont se déchirer lors d'un tournage cauchemardesque. D'abord Bradley, producteur véreux et anxieux, Victor, écrivain alcoolique et idéaliste, puis Colette, la vieille "jeune première" mégalo et arrogante et enfin Brenda, une jeune et jolie starlette mytho qui "incante" constamment tenaillée par l'espoir de devenir célèbre. Le tournage aura-t-il lieu ?

TEASER ANATOMIE D'UNE ACTRICE

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